Ce livre volontairement disparate offre, à la façon d'une cafétéria, des mets théologiques pour les goûts les plus divers selon moments et humeurs. On y trouve : - deux traductions inhabituelles, hypothétiques, suggestives, voire gênantes l’une de Genèse 1.1-2.4 et une autre de Romains 8.11 38. - des études sur des thèmes tels que la paternité de Dieu, l'étranger, le racheteur, le germe messianique, la cène et de brèves «explications de textes remis dans leur bon sens. - des proverbes et paraboles. - quatre « fictions » : deux « nouvelles », l'une où Eve raconte de son point de vue à elle ce qui s'est passé dans le Jardin, l'autre qui s'intéresse à ce qu'est devenu le bon Samaritain ; un triple « dialogue » sur des problèmes que la Bible ne peut pas poser : modalités de la création, interdiction du nom divin, explication du mal ; - un poème qui sort de la bouche de Dieu pour dire son amour des vieux. Ce va-et-vient fera tourner la tête au lecteur : au sens propre vers le Livre, sinon au sens figuré d'un vertige déboussolé. Le Pierrot lunaire fait parfois des pirouettes dont l'humour masque tristesse ou malice, cachant ou révélant de sérieuses profondeurs sous la surface ironique. Ne serait-il pas permis à un théologien de tirer discrètement sa révérence sur une telle pirouette « au clair de la Bible » ?"
Ce livre volontairement disparate offre, à la façon d'une cafétéria, des mets théologiques pour les goûts les plus divers selon moments et humeurs. On y trouve : - deux traductions inhabituelles, hypothétiques, suggestives, voire gênantes l’une de Genèse 1.1-2.4 et une autre de Romains 8.11 38. - des études sur des thèmes tels que la paternité de Dieu, l'étranger, le racheteur, le germe messianique, la cène et de brèves «explications de textes remis dans leur bon sens. - des proverbes et paraboles. - quatre « fictions » : deux « nouvelles », l'une où Eve raconte de son point de vue à elle ce qui s'est passé dans le Jardin, l'autre qui s'intéresse à ce qu'est devenu le bon Samaritain ; un triple « dialogue » sur des problèmes que la Bible ne peut pas poser : modalités de la création, interdiction du nom divin, explication du mal ; - un poème qui sort de la bouche de Dieu pour dire son amour des vieux. Ce va-et-vient fera tourner la tête au lecteur : au sens propre vers le Livre, sinon au sens figuré d'un vertige déboussolé. Le Pierrot lunaire fait parfois des pirouettes dont l'humour masque tristesse ou malice, cachant ou révélant de sérieuses profondeurs sous la surface ironique. Ne serait-il pas permis à un théologien de tirer discrètement sa révérence sur une telle pirouette « au clair de la Bible » ?"