Sous le terme d'écoféminisme, F. d'Eaubonne en appelle à un humanisme renouvelé afin de sortir de la structure du pouvoir patriarcal, responsables de la surexploitation des femmes et de la destruction de la nature, deux phénomènes dont elle analyse les racines communes. L'ultime chapitre de Le féminisme ou La mort , intitulé Le temps de l'écoféminisme, est commenté.
Sous le terme d'écoféminisme, F. d'Eaubonne en appelle à un humanisme renouvelé afin de sortir de la structure du pouvoir patriarcal, responsables de la surexploitation des femmes et de la destruction de la nature, deux phénomènes dont elle analyse les racines communes. L'ultime chapitre de Le féminisme ou La mort , intitulé Le temps de l'écoféminisme, est commenté.