Les jeunes Visiteurs est un classique de la littérature anglaise, maintes fois réédité, et adapté à la télévision, en comédie musicale et sans doute en dessin animé. L'auteur présumé est une jeune fille de neuf ans, Mademoiselle Daisy Ashford. Elle est la nièce de J. -M. Barrie, l'auteur de Peter Pan. Elle écrit Les Jeunes Visiteurs au crayon, sans ponctuation, sur un petit cahier à couverture rouge, cahier conservé aujourd'hui à la New York Public Library.
Une première traduction, de Maurice Sachs, a paru dans la revue Le Roseau d'or en 1927. Voici ce qu'en disait alors Jean Cocteau : "Il suffit de lire deux lignes de Daisy Ashford pour comprendre que la supercherie est impossible, pour palper l'étoffe même de l'enfance, étoffe inimitable. Vouloir donner le change serait vouloir faire une toile d'araignée avec les doigts. L'enfance est un règne comme le règne animal ou le règne végétal. "
Les jeunes Visiteurs est un classique de la littérature anglaise, maintes fois réédité, et adapté à la télévision, en comédie musicale et sans doute en dessin animé. L'auteur présumé est une jeune fille de neuf ans, Mademoiselle Daisy Ashford. Elle est la nièce de J. -M. Barrie, l'auteur de Peter Pan. Elle écrit Les Jeunes Visiteurs au crayon, sans ponctuation, sur un petit cahier à couverture rouge, cahier conservé aujourd'hui à la New York Public Library.
Une première traduction, de Maurice Sachs, a paru dans la revue Le Roseau d'or en 1927. Voici ce qu'en disait alors Jean Cocteau : "Il suffit de lire deux lignes de Daisy Ashford pour comprendre que la supercherie est impossible, pour palper l'étoffe même de l'enfance, étoffe inimitable. Vouloir donner le change serait vouloir faire une toile d'araignée avec les doigts. L'enfance est un règne comme le règne animal ou le règne végétal. "