En 1964, le jury de la Biennale de Venise décerna pour la première fois son Grand Prix à un artiste américain, Robert Rauschenberg. Une initiative que l'on interpréta communément comme une reconnaissance définitive de la migration de la scène artistique mondiale, de Paris vers New York. Néanmoins, s'il est indéniable qu'à partir des années soixante les artistes d'Outre-Atlantique triomphèrent, les créateurs européens ne furent pas en reste.
"L'histoire est faite par ceux qui la font bien sûr, mais aussi et surtout par ceux qui la racontent. Claude Guibert est de ceux par qui elle advient parce qu'il la fait raconter." - Michel Onfray
En 1964, le jury de la Biennale de Venise décerna pour la première fois son Grand Prix à un artiste américain, Robert Rauschenberg. Une initiative que l'on interpréta communément comme une reconnaissance définitive de la migration de la scène artistique mondiale, de Paris vers New York. Néanmoins, s'il est indéniable qu'à partir des années soixante les artistes d'Outre-Atlantique triomphèrent, les créateurs européens ne furent pas en reste.
"L'histoire est faite par ceux qui la font bien sûr, mais aussi et surtout par ceux qui la racontent. Claude Guibert est de ceux par qui elle advient parce qu'il la fait raconter." - Michel Onfray