"La première raison de vivre, pour un chien, c'est de courir. Je n'avais jamais vraiment pensé à ces choses-là avant d'avoir un chien pour de vrai. Et s'occuper d'un vieux chien mourant, cela, je n'y avais pas pensé du tout". Voilà ce qu'écrit Jirô Taniguchi dans la postface à Terre de rêves, évoquant ce qui lui a inspiré le premier chapitre de cette nouvelle histoire en cinq chapitres - la disparition de son vieil animal. Avec toute la retenue et la délicatesse que l'on connaît au grand auteur japonais - mais aussi avec sa formidable acuité pour les plus petits détails du quotidien -, Taniguchi nous offre une nouvelle démonstration de son immense talent narratif et graphique.
"La première raison de vivre, pour un chien, c'est de courir. Je n'avais jamais vraiment pensé à ces choses-là avant d'avoir un chien pour de vrai. Et s'occuper d'un vieux chien mourant, cela, je n'y avais pas pensé du tout". Voilà ce qu'écrit Jirô Taniguchi dans la postface à Terre de rêves, évoquant ce qui lui a inspiré le premier chapitre de cette nouvelle histoire en cinq chapitres - la disparition de son vieil animal. Avec toute la retenue et la délicatesse que l'on connaît au grand auteur japonais - mais aussi avec sa formidable acuité pour les plus petits détails du quotidien -, Taniguchi nous offre une nouvelle démonstration de son immense talent narratif et graphique.