La légende urbaine voudrait que Leonardo DiCaprio ait enchaîné trente-deux conquêtes – toutes de sublimes top models – mais sans tomber amoureux d’une seule. Faut-il en chercher les raisons dans les arcanes de la société de consommation et sa propension au narcissisme ? Dans les lois de la biologie ? Ou, tout bêtement, dans le fait que ce cher Leo ne soit pas encore tombé sur la bonne ? Et nous, dans tout ça, sommes-nous, comme lui, des complexés de l’engagement ?
Liv Strömquist, que l’on ne présente plus, a choisi d’intituler son nouvel album La Rose la plus rouge s’épanouit, en référence et hommage à un vers de la poétesse américaine féministe Hilda Doolittle qui, dans sa vie comme dans ses écrits, prônait des amours libérées. Une nouvelle occasion pour elle de disséquer les comportements amoureux à l’ère du capitalisme tardif et de les interroger : comment maîtriser les élans du cœur ? Que faire en cas de chagrin d’amour ? Pourquoi les histoires d’amour finissent-elles mal, en général… ? Et pourquoi certaines personnes papillonnent-elles sans jamais se poser ?
Avec sa pertinence et son humour habituels, l’auteure entrechoque les références attendues et d’autres qui le sont moins – entre Beyoncé, les Schtroumpfs, des acteurs de télé-réalité, Jésus ou encore des sociologues… – pour sonder les coulisses de la passion. Savez-vous que Socrate était un véritable don Juan avant l’heure, ou bien ce qu’est devenu Thésée, une fois le fil amoureux d’Ariane rompu ? Ou, encore, connaissez-vous Lady Caroline Lamb, ici érigée en modèle, dont les coquetteries avec Lord Byron ont défrayé la chronique de l’époque ? Autant d’exemples qui permettent à Liv Strömquist de dévoiler une véritable anatomie de l’éros en quelques battements…
La légende urbaine voudrait que Leonardo DiCaprio ait enchaîné trente-deux conquêtes – toutes de sublimes top models – mais sans tomber amoureux d’une seule. Faut-il en chercher les raisons dans les arcanes de la société de consommation et sa propension au narcissisme ? Dans les lois de la biologie ? Ou, tout bêtement, dans le fait que ce cher Leo ne soit pas encore tombé sur la bonne ? Et nous, dans tout ça, sommes-nous, comme lui, des complexés de l’engagement ?
Liv Strömquist, que l’on ne présente plus, a choisi d’intituler son nouvel album La Rose la plus rouge s’épanouit, en référence et hommage à un vers de la poétesse américaine féministe Hilda Doolittle qui, dans sa vie comme dans ses écrits, prônait des amours libérées. Une nouvelle occasion pour elle de disséquer les comportements amoureux à l’ère du capitalisme tardif et de les interroger : comment maîtriser les élans du cœur ? Que faire en cas de chagrin d’amour ? Pourquoi les histoires d’amour finissent-elles mal, en général… ? Et pourquoi certaines personnes papillonnent-elles sans jamais se poser ?
Avec sa pertinence et son humour habituels, l’auteure entrechoque les références attendues et d’autres qui le sont moins – entre Beyoncé, les Schtroumpfs, des acteurs de télé-réalité, Jésus ou encore des sociologues… – pour sonder les coulisses de la passion. Savez-vous que Socrate était un véritable don Juan avant l’heure, ou bien ce qu’est devenu Thésée, une fois le fil amoureux d’Ariane rompu ? Ou, encore, connaissez-vous Lady Caroline Lamb, ici érigée en modèle, dont les coquetteries avec Lord Byron ont défrayé la chronique de l’époque ? Autant d’exemples qui permettent à Liv Strömquist de dévoiler une véritable anatomie de l’éros en quelques battements…