Après « Mon Maroc », Abdellah Taïa continue de croire, dans « Le rouge du tarbouche », que seule l'écriture est capable de le sauver et de donner un sens au monde. C’est sa religion. Il écrit toujours en disant « je », et parfois d'autres voix se mêlent à la sienne.
Après « Mon Maroc », Abdellah Taïa continue de croire, dans « Le rouge du tarbouche », que seule l'écriture est capable de le sauver et de donner un sens au monde. C’est sa religion. Il écrit toujours en disant « je », et parfois d'autres voix se mêlent à la sienne.