Depuis les années 1970, Denis Grozdanovitch fait des photographies. Rangées dans d’énormes classeurs, elles ressemblent aux textes qu’il a commencé à publier bien plus tard. On y trouve un goût certain pour les maisons ruinées, les jardins à l’abandon, les puissantes averses, les bouts du monde. Des amis passent, certains sont morts, d’autres peignent inlassablement le même arbre, pour chacun il y a une histoire.
On habite Paris, l’Aveyron, puis la Nièvre. Judith, la compagne, est de tous les voyages : Italienne en Sicile, Athénienne en Grèce, elle est le visage unique qui rassemble ces années éparses. En écrivant sur ses photographies, Denis Grozdanovitch se livre à un exercice dans lequel il excelle : la chronique mélancolique.
Depuis les années 1970, Denis Grozdanovitch fait des photographies. Rangées dans d’énormes classeurs, elles ressemblent aux textes qu’il a commencé à publier bien plus tard. On y trouve un goût certain pour les maisons ruinées, les jardins à l’abandon, les puissantes averses, les bouts du monde. Des amis passent, certains sont morts, d’autres peignent inlassablement le même arbre, pour chacun il y a une histoire.
On habite Paris, l’Aveyron, puis la Nièvre. Judith, la compagne, est de tous les voyages : Italienne en Sicile, Athénienne en Grèce, elle est le visage unique qui rassemble ces années éparses. En écrivant sur ses photographies, Denis Grozdanovitch se livre à un exercice dans lequel il excelle : la chronique mélancolique.