Un soldat américain a baisé une jeune fermière vietnamienne. D’où le fait que ma mère existe. D’où le fait que j’existe. D’où le fait que : pas de bombes = pas de famille = pas de moi.
« Ces poèmes possèdent un puissant courant émotionnel sous-jacent qui émane de la sincérité et de la candeur de M. Vuong, ainsi que de son talent pour peindre des moments spécifiques avec une clarté photographique couplée à la sensation de l’évanescence des choses terrestres. » Michiko Kakutani, The New York Times
« Chaque poème, ou presque, se termine d’une manière qui m’a fait pousser un soupir de plaisir ou d’admiration, ou encore m’a laissée figée dans la contemplation de mots si beaux. » Roxane Gay, auteure de Bad Feminist
« La contribution majeure de Vuong avec Ciel de nuit blessé par balles est de lutter contre la tendance à laisser la peur définir la vie de l’exilé. » LA Review of Books
Un soldat américain a baisé une jeune fermière vietnamienne. D’où le fait que ma mère existe. D’où le fait que j’existe. D’où le fait que : pas de bombes = pas de famille = pas de moi.
« Ces poèmes possèdent un puissant courant émotionnel sous-jacent qui émane de la sincérité et de la candeur de M. Vuong, ainsi que de son talent pour peindre des moments spécifiques avec une clarté photographique couplée à la sensation de l’évanescence des choses terrestres. » Michiko Kakutani, The New York Times
« Chaque poème, ou presque, se termine d’une manière qui m’a fait pousser un soupir de plaisir ou d’admiration, ou encore m’a laissée figée dans la contemplation de mots si beaux. » Roxane Gay, auteure de Bad Feminist
« La contribution majeure de Vuong avec Ciel de nuit blessé par balles est de lutter contre la tendance à laisser la peur définir la vie de l’exilé. » LA Review of Books