Pour la première fois, un penseur musulman imagine le procès de Jésus. Sous le titre mystérieux de « la Cité inique », Kamel Hussein, dans son récit du Vendredi Saint, éclaire les acteurs de ce grand drame : les Juifs, les Apôtres et les Romains. Mais les responsables du complot sont « tous les hommes qui veulent tuer la conscience en projetant d'exterminer celui qui la leur découvre avec une puissance de manifestation troublante et bouleversante ». Tout rassembler en une seule journée, et sur ce seul événement de la condamnation de Jésus, fait naître une œuvre étonnante d'unité.
Pour la première fois, un penseur musulman imagine le procès de Jésus. Sous le titre mystérieux de « la Cité inique », Kamel Hussein, dans son récit du Vendredi Saint, éclaire les acteurs de ce grand drame : les Juifs, les Apôtres et les Romains. Mais les responsables du complot sont « tous les hommes qui veulent tuer la conscience en projetant d'exterminer celui qui la leur découvre avec une puissance de manifestation troublante et bouleversante ». Tout rassembler en une seule journée, et sur ce seul événement de la condamnation de Jésus, fait naître une œuvre étonnante d'unité.