Des années de plomb italiennes au Québec rural de 1950, en passant par le Montréal actuel, une Thaïlande oppressante et une Floride enneigée, Les voies de la disparition dessine une géographie de la fuite. Entre Manue qui peine à tomber enceinte, Fabio qui tente de ranimer la flamme, l’attentat de Bologne, les éléphants menacés d’extinction, Claudio et son fardeau, deux terroristes en cavale, Jacques Cartier le jardinier et une grand-mère qui perd la mémoire, on découvre plusieurs manières de disparaître. Mais si, pour se sauver, plutôt que de chercher à effacer ses traces, on se confrontait à la réalité ?
Voilà un roman où s’enchevêtrent nature et humanité, mort et amour, évolution et décadence, pour dire que, même si la fin demeure toujours radicale, avec de l’imagination on peut réussir à la retarder.
Des années de plomb italiennes au Québec rural de 1950, en passant par le Montréal actuel, une Thaïlande oppressante et une Floride enneigée, Les voies de la disparition dessine une géographie de la fuite. Entre Manue qui peine à tomber enceinte, Fabio qui tente de ranimer la flamme, l’attentat de Bologne, les éléphants menacés d’extinction, Claudio et son fardeau, deux terroristes en cavale, Jacques Cartier le jardinier et une grand-mère qui perd la mémoire, on découvre plusieurs manières de disparaître. Mais si, pour se sauver, plutôt que de chercher à effacer ses traces, on se confrontait à la réalité ?
Voilà un roman où s’enchevêtrent nature et humanité, mort et amour, évolution et décadence, pour dire que, même si la fin demeure toujours radicale, avec de l’imagination on peut réussir à la retarder.