2018 : un effroyable déluge s’abat sur Terre et quatre-vingt-cinq pour cent de la population périt. Curieusement, les survivants ont tous ceci en commun : ils ne convoitent ni les biens ni la bonne fortune d’autrui, et ne croient en aucune divinité ni en une hypothétique vie après la mort.
À l’approche de 2012 – année de la « vraie » fin du monde – Jon Ferguson pose cette passionnante équation – et ses corollaires : que se passera-t-il maintenant ? ce nouveau commencement va-t-il permettre de créer un monde meilleur ? ou l’humanité est-elle condamnée à revivre la même histoire ?
Le narrateur – celui-là même qui a orchestré le déluge et qui se défend avec véhémence d’être Dieu – va mener le lecteur d’îlots en îles jusqu’aux rivages de ce qui fut, jadis, le lac Léman.
2018 : un effroyable déluge s’abat sur Terre et quatre-vingt-cinq pour cent de la population périt. Curieusement, les survivants ont tous ceci en commun : ils ne convoitent ni les biens ni la bonne fortune d’autrui, et ne croient en aucune divinité ni en une hypothétique vie après la mort.
À l’approche de 2012 – année de la « vraie » fin du monde – Jon Ferguson pose cette passionnante équation – et ses corollaires : que se passera-t-il maintenant ? ce nouveau commencement va-t-il permettre de créer un monde meilleur ? ou l’humanité est-elle condamnée à revivre la même histoire ?
Le narrateur – celui-là même qui a orchestré le déluge et qui se défend avec véhémence d’être Dieu – va mener le lecteur d’îlots en îles jusqu’aux rivages de ce qui fut, jadis, le lac Léman.