Lorsqu'on s'avisa de réunir les textes qu'Alphonse Allais avait disséminés dans différents journaux pendant plus de vingt ans , presse humoristique ou « sérieuse » , on s'aperçut qu'il ne fallait pas moins de onze tomes pour les contenir tous.
Dans ce volume, chacun des contes a été sélectionné pour illustrer un des différents aspects de l'humour selon Allais. On y trouve des jongleries verbales , qui mènent vite au saugrenu ; des « charges » contre le « bonhomme » La Fontaine, coupable, selon Allais, de répandre des idées pleines de bon sens - ce qu'il a en horreur ; des contes construits sur les postulats absurdes ; d'autres dans lesquels la logique est appliquée jusqu'à la déraison, ou qui témoignent d'un humour grinçant...
Jules Renard, qui n'a jamais succombé à la complaisance, venait de découvrir Mark Twain : « Cela me paraît fort inférieur à ce qu'écrit notre Allais ; et puis, c'est trop long. Je ne supporte que l'indication d'une plaisanterie. Ne nous rasez pas ! » Monsieur est servi.
Lorsqu'on s'avisa de réunir les textes qu'Alphonse Allais avait disséminés dans différents journaux pendant plus de vingt ans , presse humoristique ou « sérieuse » , on s'aperçut qu'il ne fallait pas moins de onze tomes pour les contenir tous.
Dans ce volume, chacun des contes a été sélectionné pour illustrer un des différents aspects de l'humour selon Allais. On y trouve des jongleries verbales , qui mènent vite au saugrenu ; des « charges » contre le « bonhomme » La Fontaine, coupable, selon Allais, de répandre des idées pleines de bon sens - ce qu'il a en horreur ; des contes construits sur les postulats absurdes ; d'autres dans lesquels la logique est appliquée jusqu'à la déraison, ou qui témoignent d'un humour grinçant...
Jules Renard, qui n'a jamais succombé à la complaisance, venait de découvrir Mark Twain : « Cela me paraît fort inférieur à ce qu'écrit notre Allais ; et puis, c'est trop long. Je ne supporte que l'indication d'une plaisanterie. Ne nous rasez pas ! » Monsieur est servi.