Bruno Colmant se dit inquiet et aux aguets. Préoccupé par l’Europe, la crise, la monnaie. " Je consacre toute mon étude académique à cette problématique, du matin au soir ".
Très actif sur les réseaux sociaux, aujourd’hui partenaire du cabinet international Roland Berger, sa voix dépasse le cadre de la seule petite Belgique puisqu’il est aujourd’hui interrogé par la presse française. " C’est sans doute grâce à ma présence sur Twitter " nous confie-t-il.
Chroniqueur infatigable, il publie un nouveau livre "La déflagration monétaire" , qui rassemble des textes publiés principalement dans L’Echo et Trends-Tendances. Il en a confié la préface à Etienne de Callataÿ. Les deux hommes se connaissent et s’apprécient, même si leurs idées diffèrent parfois. Mais au-delà de leurs divergences, un point commun les rassemble: celui de rédiger des chroniques économiques et financières. Et l’exercice n’est pas toujours aisé, comme le souligne Etienne de Callataÿ dans sa préface. " La présence médiatique peut être moquée comme l’égarement du papillon prêt à mourir sous les feux de la rampe. Elle peut tout aussi bien être saluée comme l’expression d’un sens du devoir citoyen ou comme un exercice de modestie dans la mesure où il faut afficher les limites de ses compétences. Peu importe les ressorts de l’âme humaine, ce qui compte est la contribution sociétale " écrit le chef économiste de la Banque Degroof.
Alors oui, Bruno Colmant est parfois critiqué çà et là pour sa grande exposition médiatique, mais il entend surtout participer activement au débat d’idées. Et davantage qu’hier encore, ses idées sont tranchées et suscitent la controverse, notamment sur l’indépendance de la Banque centrale européenne .
Bruno Colmant se dit inquiet et aux aguets. Préoccupé par l’Europe, la crise, la monnaie. " Je consacre toute mon étude académique à cette problématique, du matin au soir ".
Très actif sur les réseaux sociaux, aujourd’hui partenaire du cabinet international Roland Berger, sa voix dépasse le cadre de la seule petite Belgique puisqu’il est aujourd’hui interrogé par la presse française. " C’est sans doute grâce à ma présence sur Twitter " nous confie-t-il.
Chroniqueur infatigable, il publie un nouveau livre "La déflagration monétaire" , qui rassemble des textes publiés principalement dans L’Echo et Trends-Tendances. Il en a confié la préface à Etienne de Callataÿ. Les deux hommes se connaissent et s’apprécient, même si leurs idées diffèrent parfois. Mais au-delà de leurs divergences, un point commun les rassemble: celui de rédiger des chroniques économiques et financières. Et l’exercice n’est pas toujours aisé, comme le souligne Etienne de Callataÿ dans sa préface. " La présence médiatique peut être moquée comme l’égarement du papillon prêt à mourir sous les feux de la rampe. Elle peut tout aussi bien être saluée comme l’expression d’un sens du devoir citoyen ou comme un exercice de modestie dans la mesure où il faut afficher les limites de ses compétences. Peu importe les ressorts de l’âme humaine, ce qui compte est la contribution sociétale " écrit le chef économiste de la Banque Degroof.
Alors oui, Bruno Colmant est parfois critiqué çà et là pour sa grande exposition médiatique, mais il entend surtout participer activement au débat d’idées. Et davantage qu’hier encore, ses idées sont tranchées et suscitent la controverse, notamment sur l’indépendance de la Banque centrale européenne .