la science-fiction souriante, de nos, ça se fait rare, et ce n'est pas par hasard, c'est que le monde, la société, la vie, comme on voudra, offrent peu de prétexte à sourire.
C'est pourquoi en Retour à la terre troisième du nom, ne reculant devant aucun sacrifice, commence par un texte d'une extrême drôlerie, "La guerre du pou".
Il s'agit, on s'en doutera d'un satire antiguerrière et antimilitaire.
C'est une cible de choix, mais il y en a d'autres, visées dans le cours du volume, la technologie, le travail, l'atome dit pacifique, le racisme - entre autres.
Autant dire que cette anthologie, comme les deux précédentes, ne décolle du réel que pour y retomber à pieds joints.
la science-fiction souriante, de nos, ça se fait rare, et ce n'est pas par hasard, c'est que le monde, la société, la vie, comme on voudra, offrent peu de prétexte à sourire.
C'est pourquoi en Retour à la terre troisième du nom, ne reculant devant aucun sacrifice, commence par un texte d'une extrême drôlerie, "La guerre du pou".
Il s'agit, on s'en doutera d'un satire antiguerrière et antimilitaire.
C'est une cible de choix, mais il y en a d'autres, visées dans le cours du volume, la technologie, le travail, l'atome dit pacifique, le racisme - entre autres.
Autant dire que cette anthologie, comme les deux précédentes, ne décolle du réel que pour y retomber à pieds joints.