L'été 81 : pendant un mois, Raymond Depardon envoie chaque jour à Libération une photo de New York et quelques notes d'accompagnement. Cette " correspondance new©yorkaise " est reprise ici, telle quelle, mais complétée par un prologue et un épilogue photographiques donnant à voir cette expérience singulière, inédite, comme un moment privilégié dans le parcours photographique de Raymond Depardon. En regard de ces images, les accompagnant librement, le texte d'Alain Bergala insiste sur la dimension d'absence qui est paradoxalement au coeur de tout acte photographique. Les reporters aussi ont des " absences " et ressemblent plus souvent qu'on ne croit à ces peintres qui plantent leur chevalet devant un paysage et peignent une odalisque. C'est que d'autres images hantent le photographe qui parcourt les rues de New York : des images d'ailleurs et des images d'avant les siennes.
L'été 81 : pendant un mois, Raymond Depardon envoie chaque jour à Libération une photo de New York et quelques notes d'accompagnement. Cette " correspondance new©yorkaise " est reprise ici, telle quelle, mais complétée par un prologue et un épilogue photographiques donnant à voir cette expérience singulière, inédite, comme un moment privilégié dans le parcours photographique de Raymond Depardon. En regard de ces images, les accompagnant librement, le texte d'Alain Bergala insiste sur la dimension d'absence qui est paradoxalement au coeur de tout acte photographique. Les reporters aussi ont des " absences " et ressemblent plus souvent qu'on ne croit à ces peintres qui plantent leur chevalet devant un paysage et peignent une odalisque. C'est que d'autres images hantent le photographe qui parcourt les rues de New York : des images d'ailleurs et des images d'avant les siennes.