Le dévouement et la probité de la plupart des professionnels de la santé sont indubitables, mais la corruption s’est installée au cœur du système. La logique du profit a dévoyé la science.
Chaque année, près de 200 000 personnes décèdent en Europe suite aux effets médicamenteux qualifiés de « secondaires » ; les overdoses d’antidouleurs tuent plus que l’héroïne et la cocaïne réunies ; l’abus de médicaments a pollué jusqu’à l’eau du robinet, devenue un cocktail de Prozac, d’antibiotiques, d’anticancéreux et de perturbateurs endocriniens.
Le dévouement et la probité de la plupart des professionnels de la santé sont indubitables, mais la corruption s’est installée au cœur du système. La logique du profit a dévoyé la science.
Chaque année, près de 200 000 personnes décèdent en Europe suite aux effets médicamenteux qualifiés de « secondaires » ; les overdoses d’antidouleurs tuent plus que l’héroïne et la cocaïne réunies ; l’abus de médicaments a pollué jusqu’à l’eau du robinet, devenue un cocktail de Prozac, d’antibiotiques, d’anticancéreux et de perturbateurs endocriniens.