Un Américain épris de peinture impressionniste rêve de retrouver les lieux où Claude Monet peignit le Jardin à Sainte-Adresse ; un Français qui a passé son enfance au Havre, bercé par le départ des transatlantiques, rêve de découvrir l'Amérique. Leurs routes finiront inévitablement par se croiser au terme d'aventures rocambolesques et drôles. David l'Américain, tel le Persan de Montesquieu, va de surprise en surprise et tombe dans une banlieue-ghetto du Havre, la ZUP Claude-Monet avant de découvrir le ridicule des milieux parisiens de la littérature et de la télévision. Ce que Benoît Duteurtre fustige, c'est cette arrogance française qui consiste à combattre les États-Unis au nom de l'exception culturelle alors même que la France s'applique dans le moindre détail à copier le mode de vie américain. Il le fait avec humour, non pas à la manière d'un essayiste, mais avec la grâce pétillante d'un raconteur d'histoires qui se plaît à faire partager ce qu'il aime : la Normandie, New York, le Paris de la Belle Époque et la joie de vivre en dehors des dogmes et des systèmes. --Yves Bellec
Un Américain épris de peinture impressionniste rêve de retrouver les lieux où Claude Monet peignit le Jardin à Sainte-Adresse ; un Français qui a passé son enfance au Havre, bercé par le départ des transatlantiques, rêve de découvrir l'Amérique. Leurs routes finiront inévitablement par se croiser au terme d'aventures rocambolesques et drôles. David l'Américain, tel le Persan de Montesquieu, va de surprise en surprise et tombe dans une banlieue-ghetto du Havre, la ZUP Claude-Monet avant de découvrir le ridicule des milieux parisiens de la littérature et de la télévision. Ce que Benoît Duteurtre fustige, c'est cette arrogance française qui consiste à combattre les États-Unis au nom de l'exception culturelle alors même que la France s'applique dans le moindre détail à copier le mode de vie américain. Il le fait avec humour, non pas à la manière d'un essayiste, mais avec la grâce pétillante d'un raconteur d'histoires qui se plaît à faire partager ce qu'il aime : la Normandie, New York, le Paris de la Belle Époque et la joie de vivre en dehors des dogmes et des systèmes. --Yves Bellec