« Ce livre est mon secret, l'obscur le plus obscur de ma vie. » Le 11 octobre 1993, Emmanuel Jardin met fin à ses jours. Trente ans plus tard, Alexandre, son frère, se confronte à son fantôme et à sa culpabilité de survivant. Emmanuel, « le plus inclassable et dérangeant des Jardin », étourdissant de charme comme capable du pire, a laissé derrière lui un sentiment d'amertume et de honte. Un secret dont son frère cadet est le seul détenteur. Dans ce récit à vif, Alexandre Jardin évoque pour la première fois ce deuil qui ravive le passé et déchire le présent. Avec pudeur, il revisite la légende d'une famille où, entre parents et enfants, les rôles sont inversés, interroge la dualité d'un garçon qui finira par céder à la mort, et élève à ce frère une sépulture de papier. Alexandre Jardin est l'un des auteurs de langue française les plus lus. Ses romans ont touché des générations de lecteurs , tout comme ses récits autobiographiques . " Un livre aussi bouleversant que décoiffant.[...]. Le choc de la rentrée." Paris Match
« Ce livre est mon secret, l'obscur le plus obscur de ma vie. » Le 11 octobre 1993, Emmanuel Jardin met fin à ses jours. Trente ans plus tard, Alexandre, son frère, se confronte à son fantôme et à sa culpabilité de survivant. Emmanuel, « le plus inclassable et dérangeant des Jardin », étourdissant de charme comme capable du pire, a laissé derrière lui un sentiment d'amertume et de honte. Un secret dont son frère cadet est le seul détenteur. Dans ce récit à vif, Alexandre Jardin évoque pour la première fois ce deuil qui ravive le passé et déchire le présent. Avec pudeur, il revisite la légende d'une famille où, entre parents et enfants, les rôles sont inversés, interroge la dualité d'un garçon qui finira par céder à la mort, et élève à ce frère une sépulture de papier. Alexandre Jardin est l'un des auteurs de langue française les plus lus. Ses romans ont touché des générations de lecteurs , tout comme ses récits autobiographiques . " Un livre aussi bouleversant que décoiffant.[...]. Le choc de la rentrée." Paris Match